Dôme des Ecrins (38-05)
Une dizaine de jours après le GR5, en 2007, je repartais pour les Ecrins. But de la rando : la Barre des Ecrins, qui culmine à 4102 mètres. Nous partons à 3, avec mon père et mon cousin. Nous laissons la voiture au Pré de madame Carle.
De nombreux séracs.
Nous voilà sur le glacier, où de nombreux randonneurs stoppent leur ascension. Nous en croiserons quand même en petites chaussures, entre les crevasses, non encordés bien sûr...
Le glacier est assez plat jusqu'au col. Le temps se couvre.
Au col, nous installons le bivouac. Nous préférons laisser le refuge, plus en aval, et dormir tranquillement au pied du dôme.
Après une nuit passée à écouter ronflements et chutes de sérac, nous sommes rattrapés par les randonneurs qui ont dormi au refuge. Grand beau temps ce matin là.
Ciel bleu, et en haut, à droite, le dôme, à gauche, la barre des Ecrins (sans neige).
Le brouillard recouvrant le glacier se lève petit à petit avec l'arrivée du soleil.
Au sommet du dôme:
La barre en arrière plan, que nous ne pourrons gravir faute de neige.
La redescente sur la vallée.
Vue sur les Ecrins depuis le col du Galibier:
L'approche du glacier sous un ciel couvert.
De nombreux séracs.
Nous voilà sur le glacier, où de nombreux randonneurs stoppent leur ascension. Nous en croiserons quand même en petites chaussures, entre les crevasses, non encordés bien sûr...
Le glacier est assez plat jusqu'au col. Le temps se couvre.
Au col, nous installons le bivouac. Nous préférons laisser le refuge, plus en aval, et dormir tranquillement au pied du dôme.
Après une nuit passée à écouter ronflements et chutes de sérac, nous sommes rattrapés par les randonneurs qui ont dormi au refuge. Grand beau temps ce matin là.
Ciel bleu, et en haut, à droite, le dôme, à gauche, la barre des Ecrins (sans neige).
Le brouillard recouvrant le glacier se lève petit à petit avec l'arrivée du soleil.
Au sommet du dôme:
La barre en arrière plan, que nous ne pourrons gravir faute de neige.
La redescente sur la vallée.
Vue sur les Ecrins depuis le col du Galibier:
Une belle rando, qui aurait été parfaite si l'on avait pu faire la Barre initialement prévue. Quelques cafouillages dans l'organisation nous ont privés de réchaud pour les 2 jours; le rationnement d'eau et les Bolinos froids n'ont pas eu raison de notre motivation (mais heureusement que mon cousin avait de quoi manger, non lyophilisé, tels que jambon fumé ou fromage de pays...). A refaire!